Coeuve est un village aux sociétés très actives. Entre les Etchaipouses, la fanfare, la fête du village, le Taiss'Xpress ou le foot, la dynamique communale provoque une demande plus grande que l’offre pour les nouveaux habitants. Ceci malgré une des quotités d’impôts les plus élevées du canton et le manque de terrains à bâtir. Nous en avons discuté avec le maire, Benoît Bleyaert.
Présentation et photo
Jeune maire, Benoît Bleyaert a été élu à 36 ans à la tête de la commune. C’était il y a sept, en 2011. Il effectue aujourd’hui son second mandat comme maire de Coeuve. De parents belges, il est pleinement Jurassien.
Sur le haut de la pile
Coeuve n’a plus de terrain à bâtir depuis quelques années. Pourtant l’équilibre se fait dans le village. Une commune vivante qui ne se voit pas beaucoup plus grande. Benoît Bleyaert en a discuté avec nous dans la Matinale.
Réaction à l’actualité
Benoît Bleyaert n’a pas hésité pour choisir une actualité à commenter. Le maire de Coeuve a bien sûr voulu réagir à la décision de la Préfecture du Jura bernois d’invalider le vote communaliste de Moutier du 18 juin 2017.
« Être maire c’est… »
Benoît Bleyaert a été propulsé au conseil communal de Coeuve à une trentaine d’année. Élu à la mairie quelques années plus tard, il effectue sa deuxième législature à la tête du village. À 43 ans, cela fait plus de 10 ans qu’il s’implique à la commune. /lbe