La démission surprise de Didier Burkhalter du Conseil fédéral a suscité de nombreux commentaires depuis mercredi après-midi. Rapidement, les observateurs attentifs de la politique fédérale ont dégainé leurs plumes pour tresser des couronnes de laurier ou d’épines au ministre neuchâtelois.
Plutôt que de spéculer sur les raisons et les conséquences de ce retrait, Gabriel de Weck a préféré revenir sur les mots choisis par le conseiller fédéral…