A la fin, est-ce toujours le résultat qui compte ? La réflexion que mène Cyprien Lovis au terme des quatre prestations de la Nati, à cinq mois de la Coupe du monde
Les joueurs de l’équipe de Suisse célèbrent le but d’Haris Seferovic inscrit après 58 secondes de jeu face au Portugal. (Photo : KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)
« Il ne faut pas oublier qu’on n’est pas encore la meilleure équipe du monde. »
Le rassemblement de l’équipe de Suisse de football a pris fin dimanche, sur une victoire 1-0 contre le Portugal. Il était plutôt long et éprouvant avec quatre matches en 11 jours, le tout en fin de saison. Au final : des résultats comptables pas au top, mais là n’est pas l’essentiel nous dit Cyprien Lovis dans le cadre de La p’tite phrase (mardi, 8h20 sur RFJ), en se basant sur un propos du Neuchâtelois Bernard Challandes, personnalité du foot romand, ancien sélectionneur du Kosovo.
« Coach national est le seul métier au monde à être exercé simultanément par des millions de personnes alors qu’un seul en a le titre. »
Le sélectionneur Murat Yakin a semble-t-il pris l’habitude d’aller saluer le public pendant l’échauffement de son équipe. (Photo : KEYSTONE/Michael Buholzer)
