Débarqué à 9h30 mardi à Herning, Nino Niederreiter a joué (presque) immédiatement contre le Kazakhstan, participant à la victoire 4-1 de la Suisse pour son septième match du Mondial avec un assist.
Le Grison, qui s'est confié à l'issue de cette partie, se réjouit de se reposer. 'A chaque tournoi on a envie de faire le mieux possible', a-t-il lâché.
-Ce n'était sans doute pas le type de match auquel vous vous attendiez face à ce type d'adversaire...
'On savait que ce ne serait pas un match facile compte tenu de leur situation, vu qu'ils allaient être relégués en cas de défaite et que nous avions encore la possibilité d'aller chercher la première place du groupe. Après, pour moi, ce n'était bien entendu pas simple de descendre de l'avion et de jouer dans la foulée. Mais au final, c'était une solide victoire.'
-Quel était l'état d'esprit après un tiers quand vous étiez menés 1-0?
'On savait qu'on devait faire mieux et que la façon dont nous avons joué au début de la rencontre était inacceptable. Et cela concernait toutes les lignes. On a su faire mieux en fin de match.'
-Racontez-nous un peu votre voyage!
'C'était plutôt long pour arriver de Winnipeg. Je suis passé par Minneapolis, puis Amsterdam et enfin Billund. Mais comme j'étais là en 2018 pour le quart de finale contre la Finlande, je savais où je mettais les pieds et je connaissais déjà la patinoire, donc être de retour ici me rappelle plutôt un bon souvenir. Mais plutôt que de regarder le match entre les Tchèques et les Américains (à 16h20), je vais aller me reposer un moment.'
-La Suisse est passée si proche du titre l'an dernier à Prague. Est-ce que vous êtes encore plus motivé?
'C'est dur à dire. A chaque tournoi on a envie de faire le mieux possible. Quoi qu'il en soit, c'est un long chemin et on verra bien quel adversaire se dresse devant nous jeudi pour le quart de finale.'
/ATS