L’initiative parlementaire relative au traitement du droit de cité communal en cas de fusion a été refusée par 20 voix contre 18 et 10 abstentions. La députée Marie-Noëlle Willemin souhaitait que le lieu d’origine des noms de famille puisse être conservé lors de fusion de communes par l’ajout de l’ancienne localité. Près de 22'000 Jurassiens auraient été concernés par ce changement, a indiqué le ministre Michel Probst, défenseur de la pratique actuelle. /rce