Le contrôle des chronomètres renaît à Saint-Imier

Le COSC, le contrôle officiel suisse des chronomètres est de retour à Saint-Imier. Un bureau ...
Le contrôle des chronomètres renaît à Saint-Imier

Le maire de Saint-Imier Stéphane Boillat et le conseiller d'Etat Andreas Rickenbacher découvrent le nouveau bureau du COSC. Le maire de Saint-Imier Stéphane Boillat et le conseiller d'Etat Andreas Rickenbacher découvrent le nouveau bureau du COSC.

Le contrôle officiel suisse des chronomètres (COSC) est de retour à Saint-Imier. Un bureau du COSC flambant neuf, situé dans les locaux de l’ancienne Nivarox, a été inauguré mardi après-midi. Une cérémonie a eu lieu en présence du conseiller d’Etat Andreas Rickenbacher et d’un parterre d’invités. La certification de la précision des mouvements horlogers avait disparu de la cité imérienne en 1978, durant la crise horlogère. L’ouverture de la structure a permis de créer une quinzaine d’emplois. C'est la Municipalité de Saint-Imier qui exploite ce bureau via sa société Crescentia SA.

L’Arc jurassien redevient un haut lieu de la certification

L’objectif du COSC était de se rapprocher de l’Arc jurassien, où se trouve une grande partie des lieux de production des  mouvements de montres. En parallèle, un bureau de contrôle des chronomètres a fermé à Genève en juin. Les deux autres bureaux se trouvent à Bienne et au Locle. /kro

Une quinzaine d'emplois ont été créés dans le nouveau bureau du COSC à Saint-Imier. Une quinzaine d'emplois ont été créés dans le nouveau bureau du COSC à Saint-Imier.


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