Le 3e assistant du HC Ajoie

Depuis deux semaines, l’entraîneur ajoulot Christian Wohlwend s’appuie régulièrement sur la ...
Le 3e assistant du HC Ajoie

Depuis deux semaines, l’entraîneur ajoulot Christian Wohlwend s’appuie régulièrement sur la présence de Gregory Sciaroni à ses côtés sur le banc durant les matches de National League. Blessé, l’attaquant apprécie ce nouveau rôle

Gregory Sciaroni (debout à droite) apporte son expérience sur le banc du HC Ajoie depuis 2 semaines (photo : Georges Henz). Gregory Sciaroni (debout à droite) apporte son expérience sur le banc du HC Ajoie depuis 2 semaines (photo : Georges Henz).

Le staff du HC Ajoie prend de l’épaisseur sans apport externe. Un nouveau visage a fait son apparition sur le banc jurassien ces derniers jours. Gregory Sciaroni a pris place aux côtés de l’entraîneur Christian Wohlwend face à Zurich, Davos, Lugano et Bienne au cours des deux dernières semaines dans le championnat de National League. Actuellement blessé, l’attaquant occupera encore un rôle d’assistant ce vendredi du côté de Berne (match en direct sur RFJ dès 19h30). « L’entraîneur m’a appelé avant le match face à Zurich en me demandant si j’allais assister à la partie. J’ai dit oui et il m’a répondu que j’allais sur le banc avec lui », dévoile Gregory Sciaroni. C’est ainsi que l’histoire a commencé.

Gregory Sciaroni : « Tu peux aider d’une manière différente »

Des idées pour le futur

Le HC Ajoie ne dispose que d’un entraîneur-assistant dans ses rangs en la personne de Petteri Nummelin. L’entraîneur des U20 Juha-Pekka Hytönen assume également cette fonction lorsqu’il ne dirige pas la relève ajoulote. Et lorsque le Finlandais est à la bande des jeunes Vouivres, c’est donc l’ancien attaquant d’Ambri, Davos et Berne qui officie. Il fait le lien entre le staff vidéo et l’entraîneur Christian Wohlwend. Mais pas que. « Dès le début, le coach m’a dit que si je voyais quelque chose ou que je devais dire quelque chose à un joueur, il n’y avait aucun problème », se réjouit Gregory Sciaroni. À 34 ans, le Tessinois vit cette expérience pour la 1re fois de sa carrière. « Ça me permet d’être proche de l’équipe », reconnaît celui qui s’est blessé le 26 septembre à Kloten. Et ça lui donne même des idées pour son après-carrière. « J’ai toujours dit que le coaching ne m’intéressait pas mais, depuis deux semaines, c’est quelque chose qui est dans ma tête », avoue-t-il. /msc


 

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