Il y a de grands risques que la ligne de TGV-Lyria entre Berne et Paris disparaisse, mais une liaison ferroviaire transfrontalière entre Neuchâtel et Paris est indispensable. C’est l’avis de la présidente du Conseil régional de Franche-Comté, Marie-Guite Dufay.
Une réunion entre les élus suisses, les élus francs-comtois et les directions de Lyria, de la SNCF et des CFF s’est tenue lundi à Besançon. La fréquentation en baisse des utilisateurs bernois, surtout, pèse sur la rentabilité de la ligne et la menace de disparition. Les participants à la réunion de lundi demandent aux actionnaires de Lyria de trouver des solutions, d’ici le printemps 2013, pour maintenir un axe transfrontalier entre Neuchâtel, Pontarlier, Dole et Paris. /aes