Le renardeau futé à Rebeuvelier n’est plus. Tout comme le Serpent à sornettes à Delémont et le Rai-tiai-tiai en Ajoie. Ces disparitions s’expliquent par le manque de successeurs. La rédaction de ces revues demandent du temps et c’est difficile de trouver des gens motivés constate le redacteur du Renardeau futé. « Il faut s’intéresser à ce qui se passe dans le village et s’impliquer dans la vie associative bénévolement », déclare René Wüthrich.
René Wüthrich, rédacteur du Renardeau futé
Pourtant le lectorat est toujours présent. La presse satirique plaît et c’est un mal nécessaire selon Pitch Comment, dessinateur de presse, notamment pour le To’Porren. La presse satirique n’a donc pas à craindre pour sa survie, du moment qu’elle trouve des personnes prêtes à reprendre le flambeau. /eso