Bien avant le 21 juillet 1969, nombreux sont ceux à avoir rêvé l’homme se rapprochant de la Lune et à lui avoir fait poser le pied dessus. Que ce soit dans la littérature, le cinéma, ou encore la bande dessinée avec le célèbre « Objectif Lune » de Tintin sorti en 1953, il y a toujours eu un lien fort entre l’imaginaire de l’humanité et le corps céleste. Marc Atallah, le directeur du musée de la science-fiction « La Maison d’Ailleurs » à Yverdon, nous livre son analyse sur cette relation particulière :
Au-delà de ces considérations, Marc Atallah ajoute qu’on donne parfois trop d’importance à la place de la Lune dans les récits de science-fiction :
Aujourd’hui, l’imaginaire tend à s’évader au-delà des frontières du système solaire, selon Marc Atallah, là où la vie est encore imaginable. /ast
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