Kevin M’Babu a su reconnaître les qualités adverses lors de l’analyse du match perdu par l’équipe de Suisse de football en Ukraine, ce qui a plu à Cyprien Lovis
« Il faut aussi accepter que l’adversaire peut faire des bonnes choses »
Reconnaître que l’adversaire a bien joué, ce n’est pas toujours évident. Que ce soit dans un jeu de société, un sport ou même dans les milieux politiques et professionnels. Souvent, on minimise les compétences adverses, préférant mettre en vitrine leurs lacunes. Jeudi dernier, le défenseur de l’équipe de Suisse de football Kevin M’Babu a su relever la beauté d’un but ukrainien, lors du match perdu par la Nati(2-1). Rien d’incroyable, dites-vous ? Peut-être… Cyprien Lovis en a une autre vision.
« Vu comme ça, l’exemple dépasse le sport »