Amélie Brahier, présidente du Parlement jurassien, et Jeanne Beuret, de l’Association interjurassienne grève des femmes, ont échangé mercredi sur la mobilisation et les revendications en vue du 14 juin prochain
Dans un peu plus d’un mois, la Suisse et le Jura vivront une nouvelle grève des femmes. Ce sera le 14 juin, comme en 2019 et comme en 1991. En toile de fond de cette mobilisation : la lutte pour des salaires équitables entre hommes et femmes, puis les violences et le harcèlement faits aux femmes.
Où en est la cause féministe ? A-t-elle obtenu des avancées ou les revendications sont-elles restées lettre morte ? La grève est-elle un bon moyen pour faire pression ou est-elle perçue négativement ? Pure Politique a proposé une table ronde ce mercredi sur RFJ, en présence d’Amélie Brahier (présidente du Parlement jurassien/députée Le Centre) et de Jeanne Beuret (membre active de l’Association interjurassienne grève des femmes).
Les échanges sont à (re)voir ci-dessous :
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