Faire preuve de bons sens dans les écoles lors de canicules

Suite à une question écrite de la députée des Vert-e-s Pauline Godat, le Gouvernement explique ...
Faire preuve de bons sens dans les écoles lors de canicules

Suite à une question écrite de la députée des Vert-e-s Pauline Godat, le Gouvernement explique que l’accent est particulièrement mis sur le bon sens et quelques règles à observer dans les écoles, ce qui ne nécessite pas de moyens financiers particuliers

Le Gouvernement jurassien a répondu à une question écrite de la députée des Vert-e-s Pauline Godat. (Photo : illustration libre de droit) Le Gouvernement jurassien a répondu à une question écrite de la députée des Vert-e-s Pauline Godat. (Photo : illustration libre de droit)

Quelques règles à respecter et surtout, du bon sens  pour faire face aux vagues de chaleur dans les écoles. C’est en résumé la réponse du Gouvernement à la question écrite de Pauline Godat. La députée des Vert-e-s souhaitait connaître les mesures actuellement mises en œuvre dans le canton, ainsi que les moyens financiers, pour faire face aux épisodes de canicule, comme celui survenu au mois d’août dernier.Le Gouvernement jurassien indique que diverses recommandations de bon sens ont été émises par les Services de l’enseignement, de la formation postobligatoire et des ressources humaines. Cela n’a pas nécessité de moyens financiers spécifiques. Des brochures, produites par l’Office fédéral de la santé publique, ont aussi été relayées. Parmi les règles, on retrouve l’aération des locaux le matin, l’hydratation des personnes ou encore des activités adaptées à la chaleur. Le Gouvernement relève que dans la majorité des autres cantons, l’accent est également mis sur ces mesures de bon sens. Pour terminer, l’exécutif souligne que les normes «  Minergie P  » avec une aération dynamique sont privilégiées pour toute nouvelle construction ou rénovation. C’est par exemple le cas pour le nouveau bâtiment de l’école secondaire à Courrendlin. Pour ce qui est de l’aspect financier, le canton contribue par le biais de subventions scolaires.Le Gouvernement détaille encore que jusqu’au début des années 2000, un congé chaleur existait, notamment dans les écoles zurichoises, argoviennes et bâloises. Il a été abrogé  pour deux raisons  : au lieu de rester au frais, les élèves jouaient au foot à la piscine. Cette mesure posait aussi des problèmes de garde aux parents qui travaillent. /ech


 

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