Le vide-dressing de Saignelégier ne désemplit pas

L’événement vivra sa dixième édition samedi. Depuis sa création en 2017, les organisatrices ...
Le vide-dressing de Saignelégier ne désemplit pas

L’événement vivra sa dixième édition samedi. Depuis sa création en 2017, les organisatrices ont constaté un intérêt grandissant tant des vendeurs que des clients pour le secteur de la seconde main.

Plus de 2'500 articles orneront les présentoirs du vide-dressing de Saignelégier. (Photo : Sylvine Boillat). Plus de 2'500 articles orneront les présentoirs du vide-dressing de Saignelégier. (Photo : Sylvine Boillat).

La seconde main ne s’essouffle pas dans les Franches-Montagnes. Le vide-dressing de Saignelégier vivra sa dixième édition samedi de 9h à 17h à la salle paroissiale protestante située sous le temple. L’événement se tient deux fois par an, au printemps et en automne. Il a vu le jour en mars 2017 sous l’impulsion des Franc-Montagnardes Sylvine Boillat, Maude Boillat et Pamela Sauser.

A l’époque, le rendez-vous attirait une dizaine de vendeurs et proposait environ 400 articles. Cette année, 75 particuliers mettent en vente plus de 2'500 produits pour un public, lui aussi, toujours plus large. « Au début, c’était des personnes assez jeunes déjà convaincues par la deuxième main (…) mais aujourd’hui on voit vraiment que ça intéresse tout un chacun », souligne Sylvine Boillat. La co-organisatrice ajoute que les assortiments ont aussi évolué aux niveaux des tailles et des styles avec, notamment, l’arrivée de produits de « marques de grande renommée ». Et la Taignonne assure mettre un point d’honneur à vérifier la qualité des articles avant de les mettre en vente.

Sylvine Boillat : « De plus en plus de monde vient pour acheter. »

Le vide-dressing ne compte pas faire ses cartons

Preuve de l’intérêt grandissant pour cet événement, les organisatrices ont dû refuser des vendeurs cette année. Le lieu dans lequel se déroule le vide-dressing est le même depuis la première édition et même s’il ne permet pas de s’étendre davantage, Sylvine Boillat n’envisage pas de déménager. « Notre salle on l’aime beaucoup. Elle est très belle et amène ce côté chaleureux qu’on veut donner à notre événement », soutient la co-organisatrice qui ajoute que la mise en place d’un vide-dressing plus imposant provoquerait une charge de travail plus lourde à endosser. /nmy

Sylvine Boillat : « On préfère rester sur cette taille-là qu’on maitrise bien. »


 

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