La St-Martin, période de ripaille et souvent chargée pour les bouchers… Mais vendre de la viande à l’ère du véganisme et de la crise climatique, on pourrait y voir une incohérence. Marion Stadelmann entame une carrière de bouchère-charcutière. Elle aime son métier, mais remet en question sa propre consommation de produits animaux, et son impact environnemental. Nina Beuret l’a suivie sur son lieu de travail, à Saignelégier. Marion lui a en fait découvrir les coulisses :
Malgré ces réflexions, Marion Stadelmann continue à apprécier son métier, qu’elle dit exercer de la manière la plus respectueuse possible. /nbe