Jean-Paul Gschwind a mis fin à ses fonctions de président de la Fédération suisse du franches-montagnes. Il revient sur son expérience, et parle de ce que ses successeurs auront à accomplir
Jean-Paul Gschwind cède sa place de président de la FSFM à la relève... mais entend bien continuer à défendre le cheval franches-montagnes, à Berne notamment.
Quatre ans à la tête de la Fédération suisse du franches-montagnes et puis s'en va : on le savait depuis l'automne passé, Jean-Paul Gschwind a décidé de céder la présidence de la FSFM à la relève. Son mandat a pris fin le 15 avril dernier. Il est donc l'heure pour le conseiller national jurassien de faire le bilan de son parcours à la tête de la Fédération suisse du franches-montagnes :
« Le cheval franches-montagnes a un bon rayonnement aujourd’hui mais il y a encore des progrès à faire »
Cette période de pandémie a été une année compliqué pour la Fédération, les éleveurs et même les chevaux. Les événements en l'honneur du franches-montagnes se tiennent à huis clos ou sont annulés. Autant de coups durs pour les éleveurs, avec qui le nouveau président devra savoir travailler selon Jean-Paul Gschwind :
« Le défi pour mon successeur, c’est de faire en sorte que tous les éleveurs tirent à la même corde et oublient certaines rivalités »
La nomination du prochain président de la FSFM est prévue le 6 juillet. Quant à Jean-Paul Gschwind, il compte toujours garder un oeil sur la FSFM et sur ce qui est fait pour le cheval franches-montagnes. Il entend aussi se concentrer sur son mandat de conseiller national. /cto
