C’est une des hausses démographiques les plus impressionnantes dans notre région… Rossemaison accueillait 550 habitants il y a dix ans, les Rossignols sont aujourd’hui 750. De nombreuses habitations ont été construites ces dernières années, dont plusieurs immeubles, ce qui explique cette augmentation considérable, selon le maire Yann Rufer qui était l’invité de notre chronique Faut voir avec le maire dans La Matinale. Aussi député, il apprécie être au service de ses citoyens et estime tracer plusieurs parallèles entre ses deux mandats politiques. Yann Rufer se bat aussi pour garder une atmosphère villageoise dans une commune qui n’a plus de bar ni de restaurant.
« Le maire se présente » et « j’aime ma commune »
« L’objectif de législature »
Après à la hausse considérable du nombre d’habitants, le maire de Rossemaison entend désormais entrer dans une phase de stabilisation. « Je vais surprendre tout le monde, mais je suis content que pendant les 15 prochaines années on n’ouvre plus de zone à bâtir », sourit Yann Rufer, argumentant que les infrastructures et services en place ne pourraient pas faire face à un afflux beaucoup plus important que celui qui a été enregistré. Parmi les projets qui devraient animer le village vadais figure la réfection de certaines routes. Une réflexion est aussi menée pour rénover l’école qualifiée par Yann Rufer de « gouffre énergétique ». La mobilité douce est aussi à l’honneur à Rossemaison puisque la piste cyclable entre le village et le voisin Châtillon devraient être réalisée prochainement. Cela permettra, selon le maire des Rossignols, de favoriser les trajets à deux-roues, notamment pour se rendre au travail. /mle