« Il vaut mieux vivre dans un petit village où on est reconnu qu’à Genève où on est perdu dans la foule. »
Une femme migrante a prononcé cette p’tite phrase pour saluer la chaleur humaine ressentie lorsqu’elle a débarqué dans la région. Elle met en lumière l’attitude largement répandue ici de s’intéresser au voisinage, pour le meilleur…et parfois pour le pire, comme le raconte Cyprien Lovis dans La p’tite phrase (mardi, 8h20 sur RFJ).