« La p’tite phrase » - Le soigneur de la belle fille

Après 30 ans de dévouement pour la chose publique et huit élections remportées, Jean-Paul Gschwind ...
« La p’tite phrase » - Le soigneur de la belle fille

Après 30 ans de dévouement pour la chose publique et huit élections remportées, Jean-Paul Gschwind a vécu avec émotion le dernier jour de sa carrière politique à Berne. Cyprien Lovis la commente

Jean-Paul Gschwind était ému au moment où le Conseil national lui a rendu hommage vendredi dernier. (photo : KEYSTONE/Anthony Anex) Jean-Paul Gschwind était ému au moment où le Conseil national lui a rendu hommage vendredi dernier. (photo : KEYSTONE/Anthony Anex)

« On s’est pleuré dans le gilet l’un l’autre … »

Vendredi dernier à l’occasion de la fin de la session des Chambres fédérales, Jean-Paul Gschwind a conclu 30 ans de politique. PDC pur souche, l’Ajoulot fut président des assemblées puis maire de Courchavon (1993-2004), député au Parlement (2007-2011) puis conseiller national (2012-2023), sans oublier la présidence de la Fédération suisse du Franches-Montagnes (FSFM). Huit élections politiques, huit victoires pour ce centriste qui fêtera ses 71 ans à la fin du mois. Cyprien Lovis consacre La p’tite phrase (mardi, 8h20 sur RFJ) à l’élu du Centre en partant d’un propos lâché sur RFJ par Jean-Paul Gschwind, qui évoquait un autre élu centriste, le Schwytzois Aloïs Gmür.

« La plus belle fille du monde ne peut pas donner ce qu’elle n’a pas ! … C’était tout vous, ça. Franc, direct, sincère. »

Jean-Paul Gschwind pendant les éloges du président du Conseil national Martin Candinas. (photo : KEYSTONE/Anthony Anex) Jean-Paul Gschwind pendant les éloges du président du Conseil national Martin Candinas. (photo : KEYSTONE/Anthony Anex)


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