La conseillère fédérale jurassienne était en visite à l’école primaire des Bois lundi matin. Cette rencontre était organisée dans le cadre d’un documentaire tourné par la Confédération sur sa personne et son parcours
Elisabeth Baume-Schneider a reçu des cadeaux de la part des élèves des Bois.
Retour aux sources pour Elisabeth Baume-Schneider. La conseillère fédérale jurassienne était en visite à l’école primaire des Bois lundi matin, l'établissement dans lequel elle a effectué sa scolarité. Ce rendez-vous a été organisé dans le cadre d’un documentaire réalisé en son honneur par la Confédération. Elle a donc eu l’occasion de déambuler dans des couloirs qu’elle connait bien et même de revisiter son ancienne salle de classe… une classe dans laquelle enseigne dorénavant sa nièce. Ce rendez-vous aura eu le mérite de toucher Elisabeth Baume-Schneider qui s’est rappelé de bons souvenirs. « La première année d’école d'un enfant, c’est souvent un moment qui ancre l’adulte qu’il va devenir, explique la conseillère fédérale. Cette école a beaucoup changé sans changer ».
Elisabeth Baume-Schneider : « Même si les années filent, on a l’impression que certains souvenirs, c’était il y a cinq minutes »
Elisabeth Baume-Schneider a chanté la Rauracienne aux côtés de sa nièce et des élèves des Bois.
Encourager la bonne communication
Ce lundi matin, c’était aussi l’occasion de rencontrer les générations futures. « Je ne connais pas très bien leurs parents, mais plutôt leurs grands-parents », rigole-t-elle. Elisabeth Baume-Schneider tenait également à faire passer un message aux différents acteurs du monde scolaire. « Ce qui est très important, c’est le dialogue et la confiance entre les enseignants, les autorités et les parents pour que les enfants se sentent accompagnés, afin qu’ils deviennent les adultes qu’ils ont envie de devenir », raconte-t-elle. Pour la conseillère fédérale jurassienne, la Confédération a aussi son rôle à jouer dans les défis auxquels l’enseignement est confronté. « Elle doit agir au niveau qui lui appartient et ensuite ce sont les cantons qui ont leur propre organisation », relate-t-elle. /lge
