« Bienvenue Moutier » : BC Moutier

Le club de basketball de la cité prévôtoise était à l’honneur dans notre chronique qui présente ...
« Bienvenue Moutier » : BC Moutier

Le club de basketball de la cité prévôtoise était à l’honneur dans notre chronique qui présente tous les mardis les institutions de la ville de Moutier en vue du transfert qui approche.

Thierry Salvi, président du Basket Club Moutier, était l'invité de « La Matinale ». Thierry Salvi, président du Basket Club Moutier, était l'invité de « La Matinale ».

« La Matinale » poursuit son accueil de Moutier et de toutes ses institutions. Ce mardi, elle mettait en lumière une société sportive : le Basket Club Moutier. Son président était invité pour le présenter. « C’est un club qui a environ 30 ans et qui a vécu ses heures de gloire il y a une quinzaine d’années quand on a été promu en 1re ligue. Je pense que tous les Prévôtois s’en souviennent encore », sourit Thierry Salvi. Il ne cache pas que l’après-covid a été compliqué. « Beaucoup de gens ont arrêté et c’est un peu dans ce cadre que je suis devenu président il y a deux ans avec un comité renouvelé. On a eu à cœur de restructurer les deux équipes juniors (U16 et U18) lors de ces deux premières saisons. À présent, le focus est mis sur la première équipe active pour la rendre à nouveau attractive et lui donner de nouvelles ambitions à elle qui était un peu à l’abandon ces dernières années. L’objectif est donc de remporter le championnat de 3e ligue », explique le président.

Le transfert qui approche ne devrait pas changer grand-chose pour le club, selon Thierry Salvi, puisque les équipes évoluent déjà dans les championnats bâlois. Concernant les liens avec les équipes jurassiennes, il ne devrait pas y avoir trop de changement non plus. « On collabore beaucoup avec Valbirse et Perrefitte. Mais je dirais qu’avec Boncourt et Jura Basket, on a une porosité qui existe depuis des années entre les deux clubs. Des jeunes chez nous vont chez eux pour tester le haut niveau et à l’inverse des joueurs de chez eux viennent chez nous, car ils cherchent un club plus familial ou des cotisations plus abordables. Il y a une concurrence saine depuis des années avec eux. C’est plus une collaboration indirecte », raconte celui qui décrit les Jurassiens comme des « bons vivants ». /lge


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